Si vraiment Dieu est entré dans le cours du temps par l'Incarnation, alors le temps porte en lui l'éternité. Cette bonne nouvelle vécue et annoncée par les chrétiens du premier millénaire a été obscurcie au cours du second lorsque le christianisme s'est englué dans l'organisation sociale : le temps a perdu son enchantement de « vie éternelle déjà commencée » pour devenir une laborieuse « préparation à la bonne mort » ; les icônes de la lumière et de la joie ont cédé la place aux austères crucifix ; en dépit des mystiques qui n'ont cessé de fleurir au cours des siècles, le moralisme et la religion ont compromis la bonne nouvelle de Jésus jusqu'à la faire rejeter comme un « opium du peuple »...
Qu'est-ce que le temps ? Comment lui donner son poids d'éternité ? « Tout ce qui n'est pas de l'éternité retrouvée est du temps perdu » disait Gustave Thibon. Comment faire goûter la bonne nouvelle des sacrements qui sont les portes de la vie éternelle ? Comment renouer avec une pastorale de la joie et de la patience à l'image d'un Dieu qui a le temps ? Comment vivre de sa miséricorde qui prend son temps et se réjouit des petits pas ?
Qu'est-ce que le temps ? Comment lui donner son poids d'éternité ? « Tout ce qui n'est pas de l'éternité retrouvée est du temps perdu » disait Gustave Thibon. Comment faire goûter la bonne nouvelle des sacrements qui sont les portes de la vie éternelle ? Comment renouer avec une pastorale de la joie et de la patience à l'image d'un Dieu qui a le temps ? Comment vivre de sa miséricorde qui prend son temps et se réjouit des petits pas ?
Arrêt de commercialisation
Quantité en stock : 0
EAN
9782712213732
Éditeur
MEDIASPAUL
Date de parution
14/11/2016
Format
12 mm x 201 mm x 132 mm
Presentation
Broché
18,00 €