Un journal devenu aussi incontournable que celui d’Anne Frank.
De 1941 à 1943, à Amsterdam, une jeune femme juive de vingt-sept ans tient un journal. Le résultat : un document extraordinaire, tant par la qualité littéraire que par la foi qui en émane. Une foi indéfectible en l’homme alors qu’il accomplit ses plus noirs méfaits. Partie le 7 septembre 1943 du camp de transit de Westerbork, d’où elle envoie d’admirables lettres à ses amis, Etty Hillesum meurt à Auschwitz le 30 novembre de la même année.
Le journal d’Esther Hillesum, née en Zélande en 1914, connaît un succès foudroyant aux Pays-Bas lors de sa publication en 1981. Et reste encore aujourd'hui, un témoignage incontournable.
« Avec une grande liberté, Etty Hillesum pose toutes les questions de la vie, de l’amour, du rapport à Dieu. »
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Issue d’une famille juive intégralement massacrée durant la Seconde Guerre mondiale, Etty Hillesum (1914-1943) est née et a vécu aux Pays-Bas. Diplômée en droit, proche des intellectuels de son temps, déportée par les nazis, elle est morte à Auschwitz en 1943.
Traduit du néerlandais et présenté par Philippe Noble
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