Le bien commun a perdu l'évidence qu'il avait dans le passé, l'individualisme ayant progressé dans nos sociétés morcelées. L'auteur, fort de son expérience de l'entreprise et de ses travaux au sein de la fondation Zermatt Summit, traque ici cette notion, montrant notamment qu'elle ne peut émerger tant qu'on parle d'intérêt, fût-ce d'intérêt général. Il en propose une éclairante métaphore et analyse son étonnante fécondité à tous les niveaux de la société, dans les corps intermédiaires, l'économie et les entreprises, la politique et les relations internationales. Ainsi, la quête du bien commun se révèle la seule manière de réussir l'articulation de l'individuel et du collectif, difficile y compris dans nos démocraties, comme l'a encore montré la récente crise du Covid-19. Seule la prise en compte du bien commun dans le fameux « monde d'après » permettrait peut-être qu'il soit meilleur que celui d'avant. AUTEUR Antonin Pujos, diplômé de Sciences Po Paris et de l'Insead, est secrétaire général de la fondation Zermatt Summit, dont l'objectif est d'humaniser la mondialisation. Ancien banquier international, il a participé au développement de l'Institut Français des Administrateurs et a assuré le cours « Gouvernance et Éthique » en Master 2 de l'université Paris-Diderot. Préface d'Adrian Pabst, professeur et doyen de la Faculté de sciences politiques de l'université du Kent (Canterbury), auteur de nombreux ouvrages.
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EAN
9782855541549
Éditeur
BIEN COMMUN
Date de parution
10/09/2020
Format
1 cm x 18 cm x 11 cm
Nombre de pages
156
Presentation
Broché
12,90 €